Au-delà du silence il y a une Lumière,
Resplendissante comme un chant dans le matin,
Douce comme un rêve au-delà de la mer,
Belle comme la vie que je sens dans le chemin.
Tous cherchent cette Lumière pour éclairer leur maison,
Je dis, sa vie dans la longue marche.
Je l'ai trouvée dans un bois. Elle était seule,
Entre des branches et les épines qui coupaient les sentiers.
Quand tu la trouve, protège-la, au-delà de ton ombre,
Et quand sans cesse soufflera le vent,
Abrite-la dans tes bras, assois-toi à son côté,
Parle-lui en silence, ouvre-lui ton coeur
París 2-7-2011
Tous ceux qui me voient me bafouent ; Ils ricanent et hochent la tête… Oui, des chiens me cernent, une bande de vauriens m’entoure… Ils partagent entre eux mes habits… Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin : Ô ma force, viens vite à mon aide ! Psaume 21
Me gusta
lundi 18 juillet 2011
samedi 8 janvier 2011
La Lumière du chemin
J’ai ce rêve pour continuer à marcher.
Je ne sens pas de douleur, je ne veux pas la sentir,
ni le soleil ni la neige sur l’horizon nuageux.
Certains fortifient leurs bras, pas leur cœur,
d’autres enrichissent leurs mains, pas leur cœur.
J’ai cette Lumière pour continuer à marcher.
Je ne sens ni soif ni faim sur le chemin,
ni le vent ni la pluie ne frappent mon corps fatigué.
Entre oliviers et rochers je m’assois.
Je regarde l’univers, le ciel et les nuages.
J’ai ce rêve pour continuer à marcher.
En silence je vais par le chemin déjà parcouru,
et je cherche mon nom dans le vaste labyrinthe.
Je regarde les pierres et les branches,
Je regarde d’où souffle le vent.
J’ai cette Lumière pour continuer à marcher.
Je m’approche du centre de la nuit,
Parmi les lumières je suis la trace de la Lumière.
Certains nourrissent leur corps, pas leur cœur,
d’autres embellissent leur corps, pas leur cœur.
J’ai ce rêve pour continuer à marcher :
Un fleuve, une montagne, un arbre,
pour reposer auprès d’eux mon voyage.
Flétris restent les chemins mal parcourus,
Tristes les traces mal marquées.
J’ai cette Lumière pour éclairer ma maison,
la tienne, la nôtre, la maison que nous portons en nous.
Depuis une pierre embrassons le rêve que nous avons,
Depuis une autre, laissons la Lumière embrasser notre corps.
Je ne sens pas de douleur, je ne veux pas la sentir,
ni le soleil ni la neige sur l’horizon nuageux.
Certains fortifient leurs bras, pas leur cœur,
d’autres enrichissent leurs mains, pas leur cœur.
J’ai cette Lumière pour continuer à marcher.
Je ne sens ni soif ni faim sur le chemin,
ni le vent ni la pluie ne frappent mon corps fatigué.
Entre oliviers et rochers je m’assois.
Je regarde l’univers, le ciel et les nuages.
J’ai ce rêve pour continuer à marcher.
En silence je vais par le chemin déjà parcouru,
et je cherche mon nom dans le vaste labyrinthe.
Je regarde les pierres et les branches,
Je regarde d’où souffle le vent.
J’ai cette Lumière pour continuer à marcher.
Je m’approche du centre de la nuit,
Parmi les lumières je suis la trace de la Lumière.
Certains nourrissent leur corps, pas leur cœur,
d’autres embellissent leur corps, pas leur cœur.
J’ai ce rêve pour continuer à marcher :
Un fleuve, une montagne, un arbre,
pour reposer auprès d’eux mon voyage.
Flétris restent les chemins mal parcourus,
Tristes les traces mal marquées.
J’ai cette Lumière pour éclairer ma maison,
la tienne, la nôtre, la maison que nous portons en nous.
Depuis une pierre embrassons le rêve que nous avons,
Depuis une autre, laissons la Lumière embrasser notre corps.
Inscription à :
Articles (Atom)